Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

CULTURES NUMERIQUES - Page 6

  • Playstation Phone : Rumeur ou révolution ?

    Les consoles de jeux seront-elles bientôt dépassées par les téléphones multimédias, dont les capacités rivalisent d’ingéniosité tant au niveau des graphismes que de l’offre de jeux proposés ?

    « Dépassées » est un bien grand mot mais il est certain qu’à terme, les futurs téléphones mobiles et autres smartphones Blackberry seront bien plus indispensables et complets qu’une simple console de jeu portable. D’autant plus que si on regarde bien, qu’est-ce qu’il manque à une PSP de Sony ou à une Nintendo DS par rapport à une Iphone 4 ? Tout simplement la possibilité de téléphoner !

    Une console de jeu qui fait téléphone

    Fake ou réalité ? Quoiqu'il en soit, voici la première image de l'hypothétique "Playstation Phone" diffusée par Engadget

    Et bien il semblerait que Sony soit en train d’emprunter cette voie avec l’éventuelle sortie d’un Playstation Phone! Si la firme nippone « n’a pas souhaité commenter cette rumeur «  (qui ne dit mot consent ?) quelques caractéristiques techniques circulent pourtant sur la toile. Ce téléphone serait équipé d’un processeur 1GHz de Qualcomm et d’un petit écran tactile (forcément) d’une taille pouvant aller de 3,7 à 4,1 pouces. Concernant le système d’exploitation, Androïd aurait été privilégié. Mais ce qui frappe à la vue de ces images, c’est la ressemblance flagrante avec la psp go (le joystick en moins) ! Si cette information se confirme, ce gadget devrait faire son apparition fin 2010 ou début 2011. Même si cette info est fiable, il ne faut pas pour autant s’enflammer. On se souvient du flop de la N-Gage de Nokia. Mais les temps changent et les modes aussi…

     

  • Associations, ONG et participation aux médias sociaux en ligne

    Côté économie

    Les publics vers lesquels les associations se tournent sont souvent agés.

    Le fait est que 80% des donateurs en France ont plus de 60 ans. C'est vrai, il y a le street marketing, qui s'adresse à des personnes plus jeunes, actives, urbaines, le travail étant réalisé par des étudiants. Mais il est réservé aux grandes ONG déja connues, celles qui par ailleurs, disposent déja des droits d'entrée (offerts) dans les agences de publicité ou sur Internet avec le Programme Google Ad grants qui permet aux ONG de faire du adwords gratuitement

    Restent les petites associations, celles qui ont des difficultés à se financer. C'est de là, à mon sens, que l'innovation viendra.
    Remarque confirmée par le fait que sur la plateforme de blogs Solidaires du monde, ce sont surtout de petites associations qui créent leurs blogs, et c'est souvent leur unique présence sur le web, notamment quand elles sont installées en Afrique, sans représentation sur les marchés où l'essentiel des dons de particuliers se fait, soit d'Europe et d'Amérique du nord.

    acetrus.JPG



    En effet, je me demande si, comme ce qui se passe dans l'univers des médias, nous ne sommes pas dans un moment de transition, un moment qui va voir l'emergence d'organisation en réseaux, avec des structures de coûts différentes de celles que nous connaissons. Pour l'instant en tout cas, l'exigence de performance de la culture marketing (qui est entrée dans les associations, les grandes en particulier) n'est pas satisfaite par les actions sur les sites sociaux. Mais il manque un historique et du recul pour juger de ces opérations et l'étude  citée précédement montre le développement de la levée de fonds en ligne. Or celle-ci s'articule autour d'un renouvellement des dispositifs de communication, mais surtout des dispositifs relationnels, de ces organisations.


    Kiva.org

    Je pense à Kiva par exemple. Cette organisation lève des fonds au Nord et finance des institutions de micro-crédit au sud. Ce n'est pas le même métier que les ONG et associations. Mais voila pourquoi j'en parle : ils ont recours au crowdsourcing, ou approvisionnement par la foule (qui n'est pas très heureux je vous l'accorde). Le crowdsourcing consiste à faire faire par des tiers extérieurs des tâches qui servent l'organisation. Le volontariat est une forme de crowdsourcing. La problématique aujourd'hui pour les associations est de trouver  un modèle pour le volontariat en ligne.

    Pourtant, force est de constater qu'une partie du web 2.0 est fondée sur le don de temps et de connaissances !

    Ainsi, comment créer des dispositifs sur internet qui permettent à la solidarité, à l'entraide, au partage, à la répartition des tâches de s'effectuer au profit de la communication, de la notoriété et de l'efficacité des organisations du secteur de la solidarité ?

  • Associations, ONG et participation aux sites sociaux

    Beaucoup d'associations et ONG se posent la question de leur présence sur des sites sociaux, sites dont les deux fondamentaux sont la relation et le contenu, qui permet à cette relation de se tisser.

    ong-medias-sociaux.JPG



    Beaucoup d'entre elles sont sur Facebook, Youtube/Dailymotion ou Twitter, car les audiences se sont déplacées vers ces sites, moins nombreuses sont celles qui alimentent régulièrement un blog comme par exeple  Hérault solidaire Montpellier http://racines34.hautetfort.com/

    Je dirais qu'une "présence" est facile à assurer et immédiatement observable alors qu'un blog exige un travail dans le temps (donc des ressources) qui peut faire peur ou être sous estimé.

    Pourtant, le blog (et les vidéos) est une matrice de l'alimentation et de l'interaction avec ces sites sociaux, je m'explique :

    • Chaque note du blog peut faire l'objet d'une reprise sur Twitter et Facebook

    • Facebook peut être présenté et Twitter peut être repris en élément de colonne du blog

    • Les vidéos publiées sur Youtube peuvent être embarquées dans des notes de blogs et enrichies d'éléments supplémentaires


    Utilité du blog dans l'écosystème numérique

    Il est donc plus difficile d'assurer sa présence sur les sites sociaux sans rédiger un blog !

    • Cela tient d'une part aux habitudes des internautes. Les jeunes en particulier s'attendent de plus en plus (et sont plus attentifs) à une communication personnalisée, "désinstitutionnalisée" et régulièrement mise à jour. Et pour cela, le blog est idéal.

    • Cela tient d'autre part à une raison technique :  le flux RSS, qui permet d'interconnecter les flux de ces sites sociaux.


    Sans blog, mais avec une présence sur Facebook et Twitter, il est toujours possible de médiatiser les vidéos produites (et il faut saluer ici l'effort fait par de nombreuses associations pour se mettre à de la production vidéo), les articles d'actualités, les communiqués de presse ou encore les événements organisés par l'association (pour ce dernier point, le géo référencement est fondamental). Mais avec un blog, il faut reformuler ou remixer ces contenus, ne pas hésiter à en parler plusieurs fois, à les réagencer et à s'approprier les pratiques de la culture web présentées par Lawrence Lessig dans ces interventions vidéos (voir liens dans Pour aller plus loin).

    Point avantageux : la plupart des associations et ONG sont productrices de contenu et ont des choses à dire, des témoignages à mettre en valeur, des expériences à partager. Et il y a une évolution de la demande de ces contenus par les publics de ces organisations sur internet. Aux associations de faire leurs évolutions internes. En prenant bien garde de faire dialoguer les jeunes (sensibles et facilement à l'aise avec ces outils) et les plus âgés (expérimentés, porteurs de points de vues riches, mais souvent dédiés à d'autres tâches jugées, pour l'instant, plus fondamentales).

  • Archos 90 eReader, une liseuse polyvalente

    Archos est une société française qui conçoit et vend des produits électroniques, notamment des baladeurs numériques, des tablettes multimédias sous Android et Windows et plus récemment des liseuses numériques. La preuve avec l’Archos 90 eReader.

    En mode lecture, son écran basse consommation rétro-éclairé et ses tailles de police ajustables offriront à vos yeux un confort de lecture inégalé. Vous pouvez définir des marque-pages, faire pivoter les écrans ainsi que gérer votre bibliothèque sans avoir à le brancher à un PC. Sa large compatibilité de formats (inclus fichiers avec DRM) vous permet de télécharger et lire tous les formats compatibles d’e-books gratuits et payants. Votre bibliothèque entière tient dans cet appareil compact : des milliers de livres dans 10 mm d’épaisseur et 430 g.

    reader-ebooks.jpg

     

    Avec son grand écran couleur TFT de 9 pouces (23 cm de diagonale), un format livre et 10 heures d’autonomie, l’Archos 90 eReader est le compagnon de lecture et de divertissement idéal. Plus compact qu’un netbook, il se glisse dans votre sac à main ou porte-documents et dispose d’un écran bien plus large que celui d’un smartphone !

    De plus, l’Archos 90 eReader n’est pas qu’un simple lecteur de livres numériques. Il intègre un lecteur de vidéo pour vous permettre de regarder tous vos films lors de vos déplacements. Vos vidéos apparaîtront plus lumineuses et plus nettes que sur le petit écran de votre téléphone portable. Cette liseuse Archos est aussi un véritable lecteur de musique : vous pouvez d’ailleurs écouter votre musique préférée tout en lisant un livre numérique ou un simple document.

    La mémoire interne de 4 Go vous permet de stocker aisément vos documents. Si vous avez besoin de plus d’espace, vous pouvez glisser une carte mémoire dans le lecteur de carte MicroSD prévu à cet effet. Vous allez redécouvrir le plaisir de lire et de se divertir simplement.

     

  • Amazon affiche sa forme avec la Kindle

    Le site de e-commerce Amazon, référence mondiale en matière de culture et de stratégie éditoriale pour le livre numérique, s’est fendu hier d’un communiqué de presse pour annoncer le succès de ses tablettes Kindle et Kindle Fire. Du côté de la littérature, la révolution des liseuses électroniques est bien en marche, certes, mais à petits pas.

    kindle.jpg

     

    Plus de 4 millions de Kindles – incluant la liseuse électronique Kindle et la tablette tactile Kindle Fire – ont déjà été vendues depuis la sortie des deux tablettes début décembre. En France, seule le lecteur ebook Kindle est disponible pour le moment. Ces résultats encourageants s’expliquent en partie par les prix très concurrentiels proposés par le géant américain du e-commerce : 99€ la Kindle en Europe, et 79$ aux États-Unis. Quand à la nouvelle tablette tactile Kindle Fire, elle est vendue à 200€, soit moitié prix par rapport à l’iPad, ou aux autres tablettes sous android.

    FNAC, la concurrente en France

    Sur le marché des liseuses, Amazon se heurtera en France à la FNAC bien implantée aussi bien sur Internet qu’en boutique physique. Après son FnacBook, l’enseigne a en effet lancé une nouvelle génération de livre numérique tactile : le Kobo by Fnac, vendu à 129€90. Les adhérents FNAC peuvent d’ailleurs venir rendre leur FnacBook, acheter le nouveau Kobo et bénéficier de 100€ de bons d’achat dans les magasins FNAC.

    La bataille des liseuses se joue de toute façon aussi sur le terrain des idées pour les enseignes culturelles. Le succès des tablettes tactiles cette année a permis aux ebooks de revenir sur le devant de la scène. Mais les amoureux du support livre n’ont pas dit leur dernier mot… Le passage du papyrus au livre moderne ne s’est pas fait en un jour !

     

  • La maintenance technique de la technologie de l'Internet

    Le IANA

    L'unité opérationnelle de la proposition Internet est assurée par la centralisation de ses référentiels au sein de la base du IANA actuellement administrée par l'ICANN. Elle réunit les paramètres de l'Internet dans quatre domaines :

    • la numérotation des blocs d'adresses IP (géré par l'ICANN)

    • le nommage du DNS (géré par l'ICANN)

    • l'ensemble des paramètres des protocoles (géré par l'IETF)

    • le registre des "subtags" linguistiques (LSR) délégué à la gestion d'une liste privée d'un Membre du Conseil d'administration d'UNICODE.

    internet.JPG

    La maintenance technique de la technologie de l'Internet

    La superstructure internet est une stabilisation prototype datant du 1er janvier 1983 de l'architecture d'ARPANET. Cette architecture n'a pas été modifiée depuis : elle reste marqué par son "biais linguistique" (utilisation de l'anglais dans le coeur de ses protocoles) et l'absence de couche présentation (cf. modèle OSI). Elle est maintenue par l'IETF (Internet Engineering Task Force) dont la mission [RFC 3935] est d'"influencer la manière dont l'on construit, utilise et gère l'internet pour qu'il marche mieux" en sachant que la technologie ainsi spécifiée "n'est pas celle qui pourrait être, mais celle qui correspond aux valeurs centrales de l'IETF" qui correspondent à l'introduction technique ci-dessus. Le développement architectural est dévolu à l'IAB dont les préoccupations vis-à-vis du financement de la recherche internet et les priorités techniques sont définies par la [RFC 3869]. La recherche à long terme est assurée par l'IRTF.