Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

CULTURES NUMERIQUES - Page 5

  • Réussissez vos vidéos comme un pro

    Avec une caméra, un appareil photo ou un simple smartphone, on peut réaliser des petits films le plus simplement du monde. Mais comment ne pas barber ses amis comme autrefois lors d'interminables projections diapos, « car un film amateur sur un événement qui ne nous concerne pas est vite ennuyeux », s'amuse un internaute. Conseils.

    Tournage

    Première règle : « Une vidéo perso doit être de courte durée ! prévient-il. N’hésitez pas à filmer beaucoup, puis à en jeter environ 90 % à la poubelle pour ne garder que le meilleur. Réalisez toujours une version longue de 50 minutes pour vous et ceux qui ont vécu l’événement et une version courte de 15 minutes pour les autres. ».

    Pour filmer une cérémonie en intégralité, comme une cérémonie de mariage ,  prévoir plusieurs caméras placées à des endroits différents. C’est le meilleur moyen de rythmer le film. Mais attention dans ce cas à utiliser la même bande son tout du long.  Parmi ses petits trucs de tournage, il est dit que « si ça peut paraître absurde de filmer une porte qui se ferme, c’est très utile pour marquer un changement de lieu ».

    Applications et logiciels

    Ensuite, vient le temps du montage qui consiste à relier différentes séquences entre elles et à donner la cohérence au film. Des logiciels permettent de couper les scènes pour ne conserver qu’une partie ou ajouter titres et filtres. Ceux intégrés à votre système d’exploitation se révèlent bien utiles. 

    Pour les PC, vous avez Windows Movie Maker et iMovie sur Mac, poursuit-il. Mais on peut aussi choisir de s’équiper de logiciels et applications qui permettent d’aller plus loin.  On utilisera Corel vidéo studio.

    Pour réaliser un travail de pro, il faut des logiciels tels Adobe premiere ou Sony vegas , La plupart sont des logiciels payants mais on peut obtenir des versions gratuites temporaires ou aux options limitées.  Il existe aussi des logiciels libres tel que VirtualDubMod Pour vous aider à les utiliser, des tutos sont à disposition sur le web, .

    Le site fr.openclassroom.com offre par exemple des courts gratuits en ligne.

  • Des objets connectés pour mieux manger

    Fourchette « intelligente », balance connectée... De nouveaux objets permettent à présent de surveiller et d'adapter notre alimentation. Objectifs : prévenir et diminuer les risques sur notre santé.

    « Les objets connectés investissent notre quotidien, démarrent les fondateurs du site de tendances technologiques Web des Objets . Ce segment de marché offre encore peu de solutions, mais ça bouge ! »

    Alimentation et santé

    Le délégué en charge de l'innovation et du numérique, des TIC, et de l'informatique de la mairie de Perpignan poursuit : « Des balances conçues pour la cuisine ou des pèse-personnes reliés à des applications donnent accès à une multitude d’informations et qui peuvent se connecter à un drive fermier de perpignan par exemple»

    Ces objets préviennent notamment de l’impact sur votre santé qu’ont les aliments qui composent votre assiette. « Avec les pèse-personnes connectés qui, outre la mesure du poids, permettent de suivre le rythme cardiaque et de calculer son IMC (indice de masse corporelle), la frontière entre santé et alimentation diminue, constate le Web des Objets. Grâce à des trouvailles comme les modules de mesure de glycémie – utiles aux diabétiques -, les patients atteints de maladies chroniques pourront adapter leur alimentation en fonction des indicateurs. »

    De quoi devenir de plus en plus autonome dans l’élaboration de son repas acheté dans un drive fermier, afin de le rendre plus équilibré.

     

    Des objets « bizarres »

    « L’alimentaire est de plus en plus connecté, confirme un délégué ministériel au numérique en santé. La meilleure illustration : la fourchette reliée à un smartphone qui transmet des informations (nombre de repas, de bouchées…) pour un meilleur contrôle de votre poids. » Il faut, par exemple, attendre au moins dix secondes entre chaque bouchée pour manger au bon rythme – ni trop vite, ni trop doucement. De son côté, la marque Seb a présenté sa future Cocotte-Minute, la Nutricook Connect, qui aide ses utilisateurs à la bonne réalisation des recettes : les étapes de cuisson, l’ajout d’ingrédients…

    Parmi les autres exemples d’innovations fournis par le Web des Objets : « Une bouteille qui permet de suivre son niveau d’hydratation au fil de la journée, un magnet qui passe directement commande des courses depuis le réfrigérateur, ou un scanner qui calcule le nombre de calories dans votre assiette. »

  • Route des vacances : les applis gratuites à ne pas rater

    Trouver la bonne aire d’autoroute, la station d’essence la moins chère, ou le petit hôtel sympa pour couper la route des vacances... Le point sur les applis sympas qui facilitent la vie !

    Pour trouver une aire de repos agréable

    Toinou conseille « aroundMe, wikango et Vinci autoroutes pour faire les bons choix au moment de la pause, mais attention, ça mange tes Mo internet », prévient-il.

    Pour trouver un hôtel où passer la nuit

    Gros coup de pompe ? Envie de faire une pause et de ne repartir que le lendemain ? Touchotel, vous indique les hôtels, gîtes et autre Bed & breakfast à proximité. Je l'ai testé pour trouver dernièrement un hôtel à Céret dans les Pyrénées Orientales.

    Pour rouler malin

    On recommande Waze, « une appli communautaire qui permet d’éviter les bouchons ou des accidents » à condition, comme toujours, que la communauté joue le jeu.

    Pour ne pas se perdre

    Mappy a lancé Mappy GPS free, une application gratuite et maline qui permet de garder le cap quand on roule, mais aussi de trouver un monument à visiter ou l’adresse des potes qui vous hébergent pour la soirée…

    Pour appeler la dépanneuse

    En cas de souci sur l’autoroute, l’appli SOS Autoroute vous permet d’appeler directement le poste de sécurité le plus proche pour signaler la nature de votre problème et votre position. Malin !

    Pour trouver de l’essence pas chère

    Parce que c’est le genre d’achat obligé qui peut grever le budget vacances : ça vaut le coup de faire 3 km de plus pour trouver une station moins chère, Toinou conseille « essence free. »



     

     

     

  • Ecommerce : vendre Efficacement sur le web – la photo des produits

    Vendre Efficacement sur le web – la photo des produits d'une boutique d'e-commerce

    De plus en plus concurrentiel, le marché de l’e-commerce pousse à l’exigence. Le service de formation à la création de boutique d'e-commerce à Perpignan 66 , vous propose au travers d’une série d’articles des outils, des méthodes et des conseils efficaces pour dynamiser vos offres, valoriser vos points forts dans la jungle de la vente en ligne en s’impregnant des bonnes pratiques et usages du web.

    Le visuel au service du produit.

    Internet est le média de l’image par excellence. Impossible d’y éditer du contenu sans une illustration convaincante et explicite. C’est d’autant plus vrai dans le e-commerce; L’image y prend une place essentielle et vaut souvent mieux qu’un long discours (pour reprendre la célèbre formule). On sait que l’internaute est volatile, qu’il passe vite d’un site à un autre, il faut donc capter son attention et l’image est le moyen idéal pour l’inciter à rester un peu plus.
    Mais pas n’importe quelle image! Il y a des codes à respecter pour mettre en valeur un produit et optimiser son pouvoir d’attraction. Vous y passerez un peu de temps et/ou un peu de budget mais l’investissement peut s’avérer payant.

    Une belle photo fait mieux vendre

    La qualité de la prise de vue est vitale. Il faut qu’elle soit nette, justement éclairée, bien cadrée et doit représenter fidélement le produit. Plusieurs choix s’offrent à vous: La photo d’un produit sur fond uni, voir détouré sur fond blanc, idéale pour un produit packagé ou la mise en situation pour définir en une seule image comment s’utilise un produit, à quoi il sert, etc.
    Prenons un économe pour légumes. Quels est, selon vous, la photo qui «parle» le mieux ? Celle où il est posé sur fond blanc ou celle où il est dans la main de son propriétaire en train d’enlever la peau d’une carotte ? La deuxième me direz-vous !

    Plusieurs belles photos font mieux vendre

    Pourquoi se contenter d’une seule photo. Après tout, internet permet de proposer à l’utilisateur de visionner sous tous les angles et dans toutes les situations. Alors allez-y, multipliez les prises de vue. Elles permettent au consommateur de voir sous toutes les coutures un produit sans l’avoir forcément dans les mains et de se faire une vraie idée sur la qualité votre offre.

    Une règle à ne pas oublier. Plus un produit est cher, plus il faudra de photos!

    Effectivement, plus votre produit sera haut-de-gamme plus le consommateur voudra s’assurer de la qualité du produit. Là il ne faudra pas lésiner et multiplier les prises de vue qui visent à mettre en avant tous les points forts. Plus que jamais, la qualité de la photo sera primordiale

  • De l'importance des métadonnées dans le livre

    data.JPGLes métadonnées qui décrivent les livres sont toujours aussi mal organisées, estime Mike Shatzkin. Or, comme l'expliquait Jonathan Nowell président de Nielsen Book Data, 40 à 80 % des ventes d'un titre dépendent de la qualité des métadonnées. Selon une étude  menée par Nielsen Books en collaboration avec la librairie Les Petits Pas... site de vente des meilleurs romans d'occasion , les ventes d'un titre de fonds (au format papier) peuvent augmenter de 42 % avec des métadonnées appropriées. Pour Nowell, l'importance des métadonnées est encore plus forte pour les livres électroniques, où la découverte est plus difficile et où les métadonnées sont bien souvent moins riches et appropriées. Le message a adressé aux éditeurs est clair, insiste-t-il : "investissez dans les métadonnées et disséminez-les le plus largement possible". Dans son étude, Nielsen estime que les ventes offline augmentent de 35 % pour les titres qui ont des métadonnées riches, et peut monter jusqu'à 178 % pour les ventes en ligne. La description longue semble la donnée la plus importante pour les ouvrages de fiction et non-fiction, alors que la description courte est plus primordiale pour les titres pour enfants. Bien sûr, Nielsen fait ici de la promotion pour son propre service d'ajout de métadonnées de livres, il n'empêche. La démonstration est éclairante.

    Peter Mathews de Nielsen explique que les titres qui ont des métadonnées complètes dans le top des 85 000 livres les plus vendus au Royaume-Uni, vendent 70 % de copies plus que ceux qui ont des métadonnées incomplètes. "Les données pauvres sont souvent le signe d'un dysfonctionnement", ajoute Fran Toolan (@ftoolan) de FireBrand Technologies. Considérez le nombre de lieux ou de systèmes différents où l'information sur la date de publication ou le numéro ISBN est conservé. Un système de gestion de titres unique assurerait une source de confiance pour toutes les données d'une maison d'édition. Pire, assurait-il sur TOC, les métadonnées doivent être synchronisées avec les contenus. Bill Newlin, éditeur chez Avallon Travel  explique qu'il ne faut pas hésiter à en ajouter.

    Les métadonnées ne doivent pas s'arrêter au strict nécessaire (le titre, sous-titre, l'image de couverture, le prix, le format, le numéro ISBN et la date de publication, mais également informer du sujet, de nombre de pages, de la série, de l'édition... et doivent être augmentées d'une description, de la biographie de l'auteur, de critiques, de matériel supplémentaire, de retour de lecteurs, etc.). Elles doivent de surcroît être constamment mises à jour avant comme après publication... Elles doivent soutenir la publication d'un titre, surtout quand il marche bien. Il conseille même d'utiliser le KeyWordTool de Google pour trouver les mots clefs les plus adaptés. Le BISG est d'ailleurs en train de conduire une étude sur les métadonnées de l'édition afin de fourbir des recommandations pour leur amélioration tout le long de la chaîne de production et de distribution.

  • Sur Google Books

    Les livres numérisés sous copyright n’ont jamais été accessibles en entier gratuitement. Lire 20 pages éparpillées sur un livre de 200 pages ne dispense pas de l’achat du livre dans une librairie.

    google-book.JPGQue ne dirait-on s’il s’agissait d’une entreprise française, faisant des milliards d’euros d’investissement, qu’un juge réduirait à néant d’un simple trait de plume !

    Quant à la suggestion de remplacer l’ »opt-out » par l’ »opt-in », elle est absolument ridicule à propos des œuvres dites « orphelines », à moins de croire aux revenants et aux tables qui tournent.

    Ce qui pose problème, c’est encore une fois la propriété intellectuelle : celle opposée à google pour lui interdire de procéder aux numérisations de masse qui permettraient d’élargir l’accès à la culture, et notamment à tous ces livres des catalogues d’éditeurs ainsi qu’aux oeuvres orphelines… mais aussi la propriété intellectuelle que google prétend apposer sur les numerisations, en revendiquant un monopole d’exploitation qui par définition est anticoncurrentiel (voir le livre de Dominique Cardon A quoi rêvent les algorithmes )   .

    tant qu’on n’aura pas réformé la propriété intellectuelle à grande échelle, en s’assurant qu’elle ne bénéficie qu’aux auteurs, et non pas aux industries culturelles qui les vampirisent depuis des années, tant qu’on n’aura pas redéfini un nouvel équilibre entre juste rémunération de l’auteur et accès libre et gratuit du plus grand nombre au public, on rencontrera ces situations ubuesques, ou l’hypocrisie le dispute au cynisme mercantile.

    la « propriété intellectuelle » est une exception, la libre circulation des oeuvres est la règle. il faut réformer la propriété intellectuelle que que l’auteur soit récompensé de son travail et bénéficie d’une rémunération qui lui permette de poursuivre sa création. a l’inverse, une propriété intellectuelle qui dure 70 ou 90 ans après la mort de l’auteur, et qui ne bénéficie en réalité qu’aux maisons d’édition, aux maisons de disques ou aux géants de la culture, n’est qu’un leurre, une rente de situation au seul bénéfice d’industries qui n’ont absolument RIEN de créatives, et qui brident la diffusion de la culture comme la création elle-même en prétendant maintenir ses monopoles d’exploitation gargantuesques. ici comme ailleurs, c’est la prédation capîtaliste qui a fait perdre de vue l’origine du droit d’auteur et le bon sens.