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CULTURES NUMERIQUES - Page 3

  • La domotique lors de la rénovation d'une maison

    La domotique améliore votre niveau de confort, de sécurité et vous permet d'économiser l'énergie. Pourquoi ne pas profiter d'une rénovation de la maison pour bénéficier de ces équipements et avoir une maison connectée ? Un confort pour aujourd'hui qui valorise votre patrimoine à la revente selon notre artisan tous travaux à Carcassonne UPFING qui installe la domotique dans de plus en plus de maison en rénovation dans l'Aude.

    Une heure avant votre arrivée, vous lancez le chauffage de votre maison via votre téléphone portable : c'est le confort domotique par excellence.

    Le système central utilise trois technologies pour communiquer avec les appareils de votre maison : le courant porteur, l'infrarouge ou les ondes radio. Des technologies par nature évolutives : vous pouvez ajouter n'importe quel nouvel appareil au réseau. De la chaudière à la hi-fi, en passant par l'alarme ou la machine à laver, tous vos équipements peuvent être commandés et programmés par la domotique ou interagir. Du coup, les possibilités offertes sont infinies : commande des volets, alerte des pompiers, déclenchement d'un enregistrement vidéo, ravitaillement du frigo...

    Gérer efficacement le chauffage des pièces de la maison

    Trois éléments combinés, ou non, permettent de faire des économies d'énergie sans perdre une once de confort selon notre Plombier de Perpignan :

    • La régulation : assurée par des thermostats, elle évite les variations, sources d'inconfort et de surconsommation.

    • La programmation : elle gère l'installation selon vos besoins, même à distance. À courant porteur ou radio, le thermostat peut se programmer à la journée ou à la semaine sur deux zones de vie.

    • Le délestage : il suspend le fonctionnement d'appareils non-prioritaires dès qu'il y a risque de dépasser la puissance souscrite, autorisant un abonnement plus économique.

    BON À SAVOIR Un gestionnaire d'énergie peut cumuler ces trois fonctions et intégrer en plus la gestion tarifaire pour le tarif bleu. Vous pouvez, en outre, contrôler et piloter votre chauffage à distance,via une passerelle Internet ou téléphonique.



    Assurer la sécurité de la maison

    Avec un système intelligent, vous pouvez :

    • Dialoguer via l'interphone avant d'ouvrir, allumer à l'extérieur, répondre et ouvrir aux visiteurs depuis n'importe quel endroit de votre habitat.

    • Protéger votre maison grâce à une alarme qui peut être associée à des détecteurs techniques (fumée, eau, température, coupure secteur) pour prévenir des incidents domestiques.

    • Simuler une présence lors de vos absences avec un système d'éclairage de sécurité qui allumera et éteindra successivement différentes pièces de votre habitat. Pour aller plus loin, vous pouvez aussi programmer l'ouverture et la fermeture des volets roulants selon vos horaires habituels.

    BON À SAVOIR Pour vous assurer du bon fonctionnement des équipements électriques pendant vos absences, une passerelle Internet vous permet de surveiller votre habitat à distance, depuis tout ordinateur connecté à Internet, via des caméras installées chez vous.

     

    Optimiser l'éclairage

    En reliant vos sources lumineuses à un système de commande centralisé, vous pouvez :

    • Combiner différentes sources (directe, indirecte, fixe ou variable) pour créer et garder en mémoire vos mises en lumière favorites.

    • Économiser l'énergie grâce à des commandes centralisées qui évitent d'oublier une lampe allumée.

    • Renforcer la sécurité en installant un détecteur de mouvement qui déclenche les éclairages au passage de quelqu'un.

    BON À SAVOIR Vous pouvez automatiser l'éclairage de votre jardin à la tombée de la nuit, grâce à l'interrupteur crépusculaire programmable aux heures souhaitées, ou encore, choisir d'installer un éclairage minuté.

  • Logiciel d'architecte et rénovation Homestyler au banc d’essai

    Ce logiciel de modélisation de maison et architectures, est gratuit et accessible en ligne. Je n’ai pas eu besoin de télécharger quoi que ce soit sur mon ordinateur.

    Accessibilité moyenne

    • Dans ce logiciel, il n’y a pas d’étapes à suivre. Chacun fait comme il veut mais du coup, ce n’est pas très intuitif au départ.

    • Le glisser/déposer d’objet (canapé, mobilier, dressing, etc.) depuis le catalogue est possible mais uniquement en 2D.

    • Une barre de recherche pour accéder aux produits du catalogue est très utile (image 2).

    • La création d’un étage de maison n’est pas une fonction facile à trouver par contre

     

    J’ai utilisé homestyler pour savoir comment agencer mes meubles dans mon salon et tester la peinture que je voulais utiliser sur mes murs. Il est utilisé en rénovation par un  artisan salle de bain Ariege de mes connaissances. Et d'autres entrerpises de rénovation l'utilisent : la Maison des travaux de Montpellier, iIlico travaux Toulouse...

     

    Mon avis sur ce logiciel de modélisation de maison et travaux :
    Effectivement la recherche d’objet (porte, fenêtre, étagère, canapé, etc.) est très lente. De plus les objets proposés par défaut sont un peu veillos pour une maison contemporaine. Un style plus neutre et moderne permettrait d’avoir un rendu par défaut plus proche de la réalité.

    https://www.homestyler.com/?lang=fr_FR

    Il serait intéressant de pouvoir avoir des objets par défaut et de leur donner la couleur que l’on souhaite. Le choix de mobilier est vraiment trop limité.

    Il est vraiment dommage de ne pas pouvoir ajouter des meubles dans la vue 3D. Par contre la colorisation des murs en 3D pour la peinture ou de la façade, c’est super !

    J’ai bien mis 1h pour agencer l’ensemble de mon salon/cuisine/salle de bain.

    Merci pour cette revue des applis 3D, il y en a bien besoin!

  • Domotique maison - U Now Watt 

    Voici la gamme de prises électriques intelligentes « U Now Watt » . Vous en avez marre de voir toutes les lumières allumées dans votre maison et de faire le gendarme chez vous ? Cette prise est faite pour vous !

    Environ 15% de l’énergie peut être économisé dans les foyers par simple visualisation…la société Edds a donc créée ce voyant encastrable permettant de visualiser la consommation globale de la maison…

    Domotique maison.jpg

    La prise « U Now Watt » permet de gérer à tout instant notre consommation d’énergie. Comment est-ce possible ? C’est très simple, sur le boitier vous voyez une  variation de couleurs du bleu « tout va bien » au rouge « attention » en passant par l’orange « situation normale ». Si vous êtes en couleur rouge (le pic de la consommation en énergie), il faudra éteindre des lumières pour repasser au vert ou au bleu par exemple !

    La prise vous communique donc l’état instantané de vos dépenses en énergie électrique de votre habitat. C’est facile et même les enfants comprennent. Cela deviendra vite un jeu pour eux. Voila un vrai plus de la domotique maison dont les outils sont de plus en plus nombreux.

    Une vraie éco-responsabilité pour toute la famille !

    Écolo attitude à la maison

    Pour vous aider à mettre hors tension vos appareils après chaque utilisation, et ainsi éviter les « fuites électriques », faites installer un interrupteur sur le câble de la chaîne hi-fi ou du téléviseur : vous n’aurez pas à déplacer les meubles pour accéder aux prises. Vous pouvez aussi mettre des interrupteurs coupe-veille ou des prises multiples qui permettent de débrancher facilement les appareils. Quant aux matériels réclamant un branchement permanent (téléphone-répondeur par exemple), mieux vaut privilégier ceux qui consomment le moins.

    Certaines solutions permettent aujourd’hui de communiquer partout dans la maison : diffusion de musique à la carte, appels sur tous les appareils sonorisés (pour regrouper la famille à l’heure des repas par exemple). Des prises multimédias pour le téléphone, la télé et Internet vous permettent aussi de constituer votre réseau accessible dans toutes les pièces, mais aussi de garder le contact avec votre logement où que vous soyez grâce à un serveur internet.

     

  • Avec le numérique, l'environnement social se modifie, fin

    En ce qui concerne le domaine plus particulier de la propriété intellectuelle, la législation française actuelle semble en théorie pouvoir assurer une certaine protection face aux réseaux.

    La mondialisation de ceux-ci remet-elle en cause l’efficacité de cette protection ?

    Pour faire face au développement d’une conception économique de la propriété intellectuelle, le copyright à l’anglo-saxonne, il faudrait sans doute trouver un équilibre entre le droit des auteurs, et le droit des utilisateurs. En réalité, le droit d’auteur actuel s’applique aussi au contenu du multimédia. Toutefois, "il existe des difficultés au niveau de la dématérialisation et de la traçabilité des oeuvres", explique un Conseiller à la propriété intellectuelle au Cabinet Breese-Majerowicz.

    Pour le moment, on ne bénéficie pas suffisamment de jurisprudence. Faut-il concevoir un droit du multimédia, avec un nouveau droit d’auteur ?

    Maître Rémy Fékété, Avocat à la Cour,  distingue, au plan juridique, trois états dans ce droit. Tout d’abord, la relation qui lie auteur et oeuvre. C’est une relation morale, où le droit intervient peu. En second lieu, la relation oeuvre-public, relation de prestation intellectuelle, où le droit intervient. Enfin, la relation auteur-public, où là, il s’agit de droit patrimonial.

    Les technologies d'information et de communication vont entraîner des bouleversements, notamment au niveau du concept de l’oeuvre. Les oeuvres sont démultipliées, le nombre d’auteurs et la diffusion avec. Le multimédia regroupe tous les supports, audio et visuels.

    Depuis Juillet 1996, la Société des Droits d’Auteurs a créé un guichet commun des droits d’auteurs, SESAME, qui regroupe en particulier la SACEM et la SACD. Il s’agit d’une société de gestion collective, véritable interface, entre utilisateurs et auteurs. C’est elle qui se chargera aussi de la perception et de la répartition des droits. En conclusion, on peut dire que dans le contenu du droit d’auteur en France, on a tout en main pour protéger les auteurs sur le multimédia...

    Tant qu’on ne sort pas du pays. En effet, on se trouve face à un "gruyère" juridique au plan international. Selon le, Responsable du service juridique de la SCAM, il faudrait créer une convention internationale, qui se mette d’accord sur le droit d’auteur. Il semblerait qu’aujourd’hui il n’y ait ni vide, ni trop plein juridique, mais seulement un flou juridique, qu’on identifie de mieux en mieux. A ce jour, Seule L’Organisation Mondiale du Commerce régit de façon sporadique le droit d’auteur au plan international. Une de ses décisions empêche notamment le droit moral d’être opposé à la circulation des oeuvres. Un signe ?

  • Avec le numérique, l'environnement social se modifie, suite

    A l’heure actuelle, l’outil qui illustre le mieux l’interactivité, c’est Internet.

    Qui dit interactivité, dit communication et échange, entre un certain nombre de personnes, en l’occurence, les "cybernautes". Il s’agit là de communication publique. En tant que telle, elle doit être contrôlée et régulée. Pourtant, comme pour tout nouveau média, le développement des réseaux de type Internet, soulève le problème de la recherche d’un équilibre entre liberté d’expression et contrôle des abus.

    La technicité des réseaux ne les met pas au dessus des lois actuelles, mais implique certains ajustements. Comment effectuer concrètement les contrôles, comment déterminer les responsables de la nature des informations transportées ? Tous réclament une éthique pour le cyberespace, et en premier lieu, les fournisseurs d’accès qui attendent un véritable statut adapté à leur activité.

    Pour l'Inspecteur Général de l'INSEE, il n’existe aucune activité nouvelle qui n’ait immédiatement engendré des perversités. L’essentiel étant de contrôler et de juguler cette perversité. La question qui se pose alors, est la suivante : "les lois actuelles sont-elles applicables en pratique sur le Net" ?

    Essayons de donner une dimension plus concrète à cette question, en l’illustrant par un cas. Première illustration, l’"affaire Gubler". Dans ce cas, deux problèmes sont posés. Celui du droit d’auteur, et celui de l’atteinte à la vie privée de la famille Mitterrand. Maître Henri Leclerc, Président de la Ligue des Droits de l’Homme, souligne le fait qu’on aurait pu agir en matière de droit. En ce qui concerne le droit d’auteur, il aurait fallu que l’auteur et l’éditeur portent plainte, aux plans national et international, ce qui n’a pas été fait. Ainsi, bien que les auteurs de ce "piratage" aient été identifiés, aucun recours juridique n’a eu lieu.


  • Avec le numérique, l'environnement social se modifie

    "A l’aboutissement de la révolution numérique, d’ici vingt ans, on assistera à un véritable bouleversement des modes de vie en société et des valeurs des institutions" affirmait-on dans les années 2000. L'interactivité, rendue possible par la technique du numérique associée au développement des réseaux, la relation directe que chacun est sensé pouvoir instituer avec qui que ce soit, remet profondément en cause le fonctionnement même de la société et les positions que les uns ou les autres y ont acquises. Une remise en question qui touche forcément aux fondements du droit.

    L’interactivité telle qu’on l’entend, tient-elle du discours, ou est-elle réelle ? le Président Délégué de CICOM TV, et auteur de la citation que nous avons mise en exergue, faisait encore remarquer à Hourtin, que "l’interactivité est liée au développement du numérique, mais que le tout numérique est un objectif dont la réalisation sera longue et coûteuse", autrement dit, ce n’est tout de même pas pour demain. Mais toutes ces transformations vont toucher la transmission du savoir.

    L’interactivité induit choix total et personnalisation. Les diffuseurs de programmes devront s’adapter, et se transformer en gestionnaires de bases de données. A plus court terme, d’ici l’an 2020, on peut d’ores et déjà envisager un choix entre une centaine de chaînes de télévision. Une multiplicité qui sera à l’origine de l’évolution du contenu des programmes. Ils vont devoir se spécialiser. Une spécialisation, dont l’aboutissement sera les chaînes thématiques. Les choix vont s’affiner, le téléspectateur sera de plus en plus exigeant sur le contenu et l’heure des programmes. Le téléspectateur deviendra le programmateur.

    Pour le Chargé de Mission NTIC à l'Agence régionale de Développement du Limousin, l’interactivité, c’est "l’utopie inspirée, contre la logique de l’usage". En allant encore plus loin, cela peut même aller jusqu’au mythe, avec ce qu’il véhicule de positif et de négatif.

    Le positif : humanisme, transparence, démocratie. Le négatif : "Big Brother", le règne de l’écran.

    Pourtant, le seul règne dont bénéficie l’interactivité n’est-il pas aujourd'hui celui du discours ? En effet, le concept répond à de multiples définitions, il apparaît donc avant tout "avide de sens". Par ailleurs, l’interactivité en tant qu’instrument de liberté ne serait-elle pas un leurre ? En effet, l’usage des technologies adaptées requiert une plus grande maîtrise des outils de communication. L’interactivité ne risque-t-elle pas de former une société de techniciens, plutôt que de citoyens ?