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CULTURES NUMERIQUES

  • Google Earth se refait une beauté avec de la 3D et de l'intelligence artificielle

    Annoncée il y a quelques jours, la nouvelle version de Google Earth est désormais disponible sur Chrome et Android. Ce nouveau atlas numérique de Google offre une expérience plus riche. Les détails !

    google earth.jpg

    L'engouement autour de Google Earth ne cesse de chuter depuis son lancement en 2004. Mais à l’époque, cette app gratuite était digne d'une vraie révolution. Elle permettait aux utilisateur de se balader, dans le plus grand des calmes, autour d'un globe virtuel. Et aujourd'hui, elle fait (enfin) peau neuve en intégrant la 3D et de nouveaux filtres pour découvrir le monde comme bon te semble. L'atlas numérique de Google  (qui nous a régalé avec son Pixel malgré son étrange stratégie), intègre aussi l'intelligence artificielle, ce qui lui permet d'offrir une meilleure expérience et meltyStyle te dit tout ce qu'il faut savoir ! 

    Grâce à l'intelligence artificielle,  Google Earth peut désormais te fournir des "cartes de connaissance" qui donnent accès à des infos sur les pays ou les lieux que tu visites de manière virtuelle. Tu l'as compris. Avec cette nouvelle app, tu peux savoir tout ce que sait Google sur le monde, rien que ça ! La nouvelle version de Google Earth propose aussi une visite en trois dimensions pour découvrir des sites inédits. Disponible dès maintenant sur les logiciels Chrome et Android de Google mais le moteur de recherche a promis une version iOS pour bientôt ! En attendant tu peux découvrir le test de rapidité qui oppose le Samsung Galaxy S8 au Google Pixel

    https://www.youtube.com/watch?v=O-XidwKsKAE

     

  • Et si le numérique ringardisait définitivement le marché du travail ?

    L’emploi est mort, vive le travail.JPGD'abord il y a l’emploi, grande cause nationale. Ensuite il y a la croissance, grande cause nationale connectée à la première. Et puis il y a le Saint Graal, l’unique espoir restant encore à notre portée d’humbles citoyens français pour sauver l’emploi et la croissance : le numérique !

    La solution, voyez-vous, c’est « la transformation numérique » à tous les étages, pour toutes les entreprises, tous les salariés, tous les chômeurs, et pourquoi pas les chiens ou encore les puces – les puces vivantes, pas les numériques qui envahissent jusqu’aux arbres de nos squares, la porte de notre bureau et demain nos boutons de culotte. Notre Président en mal de moments d’amour et de recettes miracles l’a bien compris. Là, en juin dernier, il nous sort de son e-chapeau la « French Tech ». Ici, profitant de la rentrée scolaire, il claironne son nouveau « Plan numérique pour l’école ». Sans oublier ce concept récent, et pas si idiot, de « L’Etat entrepreneur ouvert » de l’ère des données, présenté  par le « Secrétaire d’Etat en charge de la Modernisation de l’Etat et de la Simplification ».

    Bref, hors cette transmutation de tout et n’importe quoi en numérique, point de salut pour l’emploi, la croissance, la compétitivité et tout le tralala ! Sauf que le breuvage numérique n’est pas la potion magique . Pour preuve : quand l’institut américain Pew Research demande à 1896 experts : « Les applications d’intelligence artificielle automatisées et interconnectées et les appareils robotiques auront-ils fait disparaître davantage d’emplois qu’ils n’en auront créé d’ici 2025 ? », il y en a une moitié qui répond non, et l’autre oui. Match nul, balle au centre. Chacun son credo. Dieu, semble-t-il, a plus de mal à trancher que notre Président.

    En revanche, la quasi totalité des têtes d’œuf de l’enquête s’accordent pour dire que le numérique change tout ou devrait bientôt tout changer : l’enseignement et la formation, la nature de nos labeurs, nos processus de travail, l’organisation et la mise en scène de notre quotidien, le temps de paresse à défaut du temps qu’il fait, la circonférence de notre embonpoint, la fumée qui sort de nos oreilles, etc. Sauf qu’il y a un mega hic : visiblement, cet ouragan de 0 et de 1 transforme tout… sauf les façons de penser des décideurs de France et du monde. Comme si leur penseur favori était Casimir le monstre gentil, et leur livre de chevet « Oui Oui dans le monde de l’économie de grand papa ».

    Car cette révolution numérique, dont on ne sait où elle nous mène, ne suppose-t-elle pas avant toute chose une révision de nos vieilles lunes, voire une mise à jour de notre logiciel intellectuel ? Comme le montre si bien Bernard Stiegler in L’emploi est mort, vive le travail ! et dans la disruption  , :  pourquoi s’accrocher à « l’emploi » ? C’est quoi l’emploi ? Les multiples versions de l’esclavage salarié ? Un boulot de machine bien con pour récolter les sous nous permettant de manger le soir du poulet de camp de concentration ? Et si le vrai travail, celui qui nous enrichit dans tous les sens du terme, n’avait rien à voir avec l’emploi ? Et si la promotion de véritables machines pour remplacer nos boulots mécaniques étaient une excellente nouvelle ?

    Et puis il y a ce terme, véritable trou noir de l’intelligence sensible : la croissance. Comme si la vie n’était que chiffres ou gonflage artificiel du portefeuille. Et si la croissance intellectuelle et spirituelle supposait bien au contraire la décroissance économique et la mise en bière du PIB ou Produit Intérieur Brut ? Croître pour croître, c’est aussi bête que manger pour manger ou respirer pour respirer.

    Pourquoi ne pas prendre un à un tous ces mots désormais inopérants, du progrès à la compétitivité en passant par l’innovation, pour en réinventer le sens ? Pour en multiplier les pistes de redéfinition afin de déjouer la tyrannie de l’économie ? Ou pour tenter d’inventer, grâce au numérique bien sûr, de nouvelles visions de l’économie ? Immense chantier. Mais qui suppose, chers décideurs, de penser, et donc d’arrêter de plonger vos têtes d’autruche dans le miroir aux alouettes de notre sable virtuel.

  • Quelles sont les principles fonctions de la domotique dans la maison à connaitre ?

    domotique cuisine.JPGTout réside dans la programmation sur une simple télécommande :

    • arrosage du jardin et de la pelouse
    • gestion de votre consommation d'eau.
    • mise en route de l'alarme.
    • mise en route de l'éclairage intérieur et extérieur.
    • mise en service de l'alarme.
    • montée et descente des volets roulants.
    • mise en route du chauffage dans les pièces sélectionnées (chambre, salle de bains...).
    • commande de la VMC.
    • gestion du téléphone.
    • gestion de la consommation d'électricité.

    Mise en route du grille pain, de la cafetière, du lave vaisselle...Toute la cuisine rénovée par la domotique

    Toute cette gestion se fait à partir d'un tableau de bord centralisé, relié à une télécommande.

    Programmation de l'alarme


    Avec la domotique, vous pouvez programmer votre alarme de tel manière à simuler votre présence dans la maison, avec des éclairages aléatoires de pièces, des bruits programmés.
    Bref, vous l'aurez compris, tous les moyens sont bons pour dissuader... Si vous êtes dans la maison, il est possible de déclencher au son de votre voix, un appel automatique vers un système de télésurveillance, ou vers la police. Fini le gaspillage avec un ajustement parfait de votre consommation selon vos besoins. L'installation d'une domotique va être amortie en moins de 6 ans grâce aux économies d'énergies.

    - En régulant la température de pièces.
    - En contrôlant au mieux la ventilation.
    - En enclenchant le système de chauffe le jour et la nuit.
    Ou tout simplement le fait d'éteindre en même temps toutes les lumières.

    Le rôle de l'installateur pour votre domotique

    • L'installateur va ajouter et intégrer toutes les gaines nécessaires au niveau électrique. Puis en coordination avec l'électricien, l'installateur implante les cables.
      Puis installation et réglages du matériel accompagné des explications de fonctionnement. Surtout avec un système comme U Now Watt 

      Choix des cables.
    • Introduction des cordons, en concommitence avec l'électricien.
    • Réglages.
    • Explication sur la programmation.
    • Assistance technique en cas de problème.

      Il est vrai que l'installation de gaines au moment de la construction vous feront faire des économies lors de l'installation de la domotique. Et puis cela évite les saignées sur le murs pour le rajoût de cables.

      L'installateur idéal est celui qui possède des compétences en matière d'électricité pour la fixation des appareils, la pose de cables et des compétences en informatique pour réussir à coordonner vos besoins au plus près de votre style de vie.

     

     

  • De la maison futuriste à la maison obéissante : l'histoire de la domotique

    Oubliez tous les clichés sur la domotique. Jetez vos préjugés à la poubelle. Car, bonne nouvelle : la domotique a bel et bien grandi ! De sa naissance balbutiante, au tournant de 1950, à sa vie d'adulte actuelle, que de chemin parcouru, de technologies testées et d'innovations mises au point !

    À travers un voyage instructif sur les trois époques clés de l'histoire de la domotique, vous allez comprendre comment...

    ... la domotique est passée de la fiction au standard

    La domotique, ce ne sont plus des bricolages compliqués de technophiles, ni des gadgets inutiles pour la frime. En fait, sans même vous en rendre compte, vous êtes déjà entré dans le monde de la domotique !

    Car le simple achat « confort » destiné à vous simplifier la vie au quotidien, c'est déjà de la domotique. Exemples :

    • vous installez un thermostat pour réguler la température de votre logement
    • vous posez des détecteurs de fumée
    • vous motorisez un portail avec une télécommande, etc.

    Génération 1 : la domotique de science-fiction

    Vers 1950 s'ouvre l'âge du « confort moderne ». On veut démocratiser le confort – voire le redéfinir en élargissant son cadre — grâce aux installations techniques (chauffage central, électricité, téléphone, TV...) et d'hygiène (salle de bain moderne). L'irruption des « arts ménagers » dans les intérieurs familiaux introduit la notion d'électronique sur la chanson du « rêve américain », tandis que les premiers téléviseurs connectent le salon bourgeois au monde moderne.

    En 1954, seulement 10 % de la population possèdent un réfrigérateur... alors vivre dans une maison robotisée, c'est du pur fantasme cinématographique, digne des meilleurs livres de SF ! À l'instar de la villa Arpel du film « Mon Oncle » de Jacques Tati, ou encore celle, hollywoodienne, du film de Blake Edwards « The Party ».

    maison ARPEL Tati.JPGLe cas de la maison Arpel : la domotique selon Tati

    « C'est si pratique, tout communique ! » s'exclamait Mme Arpel, tandis qu'elle faisait visiter la villa à une voisine.

    Riez ! La domotique selon Tati est prétexte à une succession de gags. Technique, mais ridicule, elle emprisonne bien plus ses usagers qu'elle ne les libère. La fontaine-poisson du jardin se déclenche à distance, la porte du garage obéit à un détecteur de mouvements (dangereux d'ailleurs, car le passage intempestif du chien des Arpel bloque sa maîtresse dans le garage). Quant à la cuisine, elle a tout du tableau de bord d'un vaisseau spatial...

    La villa de Blake Edwards : domotique « party »

    Une rangée de boutons, un écran vidéo et tout bouge, tourne, apparaît ou disparaît dans la villa moderne d'un ponte du cinéma hollywoodien. Bienvenus dans « The Party », où un invité-surprise va découvrir le monde futuriste et hilarant de la domotique version USA.

     

  • Guide d’achat d'appareils photo numériques - fin

    Appareil photo hybride.jpgAppareil photo hybride

    L’hybride est la dernière génération d’appareil photo disponible sur le marché. Également nommé compact à objectifs interchangeables (C.O.I.), son avantage est d’allier compacité du boitier, qualité d’image et liberté de choisir l’objectif en fonction de l’usage (sur le principe du reflex). Démarrage rapide, autofocus réactif et délai réduit entre deux clichés font la différence avec les compacts et la capture vidéos full-HD (1080p) est quasiment la norme dans la catégorie hybride.

    Ce type d’appareil peut constituer une alternative intéressante aux photographes désireux d’alléger leur sac à dos sans pour autant délaisser la qualité.

    Un point important à noter au sujet de la taille du capteur : celle-ci varie entre celui d’un compact (1/2,3″) et celui d’un reflex (APS-C). Ainsi, les tarifs vont de 400 € à 1300 € avec un objectif 18-55 mm.

     

    Appareil photo Reflex.jpgAppareil photo Reflex

    Que ce soit pour vous initier à la photographie (objectif grand angle, fisheye...) ou pour vous équiper en tant que professionnel, l’appareil photo Reflex constitue le meilleur choix. La rapidité et la réactivité du boitier Reflex sont particulièrement adaptées aux sujets en mouvement (sport, animaux) alors que la visée Reflex excelle tant dans la fidélité du rendu que dans le confort de cadrage : vous photographiez exactement ce que vous voyez dans le viseur !

    Bien qu’encombrant à transporter, le Reflex vous permet de choisir des optiques appropriées au type de photos que vous souhaitez réaliser : Paysage, macro, portrait, effet créatif. La profondeur de champs et les multiples réglages manuels (ouverture, ISO, balance des blancs) vous permettent de montrer dans votre photo votre propre vision de la scène. De quoi rapidement se prendre pour un artiste !

    L’entrée de gamme devient accessible (à partir de 400€) tout en gagnant en compacité et en simplicité d’utilisation avec des réglages plus intuitifs. Lorsqu’on monte en gamme, on trouvera des reflex à la construction plus solides (parfois tropicalisés) proposant des réglages plus détaillés et davantage de boutons pour un accès direct aux différents modes. En fonction du boitier et des optiques, le haut de gamme Reflex n’a pas vraiment de limite de prix, tout dépendra de vos besoins et de votre budget.

    Voila pour ce guide d'achat d'appareils photo numériques dont le 1er articles est ici 

    http://happyfew.hautetfort.com/archive/2023/09/23/guide-d-achat-appareil-photo-numerique-6455674.html

     

     

     

     

  • Eco-citoyens, une application iPhone pour des gestes responsables

    Grâce à la nouvelle application pour iPhone « Eco-citoyens » de l’Ademe, les consommateurs seront sensibilisés davantage aux éco-gestes.

    Eco-citoyens, une application encourageant les éco-gestes

    Vu l’intérêt grandissant des consommateurs pour les applications sur les téléphones portables, l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie ou Ademe vient de mettre à la disposition du grand public une nouvelle appli, destinée spécialement aux utilisateurs d’un smartphone de la marque à la pomme ou un iPhone. Nommé « Eco-citoyens », l’outil est très pratique pour ceux qui veulent adopter une attitude responsable, notamment à travers des éco-gestes quotidiens. Sur le modèle de l'Application iphone Knauf pour artisan ou  du Logiciel d'architecte et rénovation Homestyler, cette appli iPhone fournit des conseils pour la réduction efficace des émissions de gaz à effet de serre et pour l’économie d’énergie, ainsi que quelques informations pratiques sur l’écologie.

    Tous les jours, Eco-citoyens envoie à la personne qui la possède un conseil pour que cette dernière puisse limiter davantage l’impact de ses actes sur l’environnement. Par exemple, l’application conseille d’utiliser des éco-recharges pour les produits d’entretien, ceux-ci nécessitant 50 à 70 % d’emballage en moins comparé aux produits classiques, et d’opter pour les produits marqués d’un éco-label. Par ailleurs, cette application fournit un accès direct aux brochures et aux guides de l’Ademe et de ses partenaires, et permet de visionner des vidéos de la chaîne Ademe sur Youtube. Eco-citoyens propose également trois cartes et trois tests.

    L’application Eco-citoyens propose trois cartes et trois tests

    Eco-citoyens propose trois services de géolocalisation dont les informations sont présentées sous forme de cartes. En l’occurrence, « Buld’air » est un service montrant quotidiennement l’état de la qualité de l’air dans les principales agglomérations françaises et fournissant des prévisions pour le lendemain. Une carte interactive est aussi disponible permettant à l’utilisateur d’un iPhone de se renseigner sur les Espaces Info Energie (EIE) les plus proches pour demander par exemple des précisions sur les techniques qui réduisent la consommation d’énergie. De la même manière, l’appli renseigne sur les déchetteries les plus proches et sur les coordonnées de celles-ci.

    Grâce à l’Eco-citoyens, il est également possible d’estimer l’impact de ses habitudes sur l’environnement à travers trois tests. Le premier outil nommé Déchets-scan permet par exemple de tester ses connaissances sur les moyens qui limitent les conséquences de ses gestes sur l’environnement. Le deuxième outil Eco-déplacements offre la possibilité de réduire le coût et les conséquences écologiques de ses déplacements en procédant à des comparaisons. À travers Coach Carbonne, le dernier outil disponible dans Eco-citoyens, il est possible d’évaluer la quantité de gaz à effet de serre généré par son alimentation quotidienne.